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La prise de poids est une des conséquences les plus fréquentes de la chimiothérapie anticancéreuse. Une prise de poids de 5 à 10 kg est fréquente chez les patients traités par chimiothérapie anticancéreuse, en particulier pour le lymphome non-hodgkinien. Les risques liés à la prise de poids sont nombreux: syndrome métabolique, diabète de type II, surpoids, obésité. Un traitement de soutien a été proposé pour la prévention et la réduction de la prise de poids: la prescription de régime hyposodé équilibré.
Il y a peu de données concernant la prise de poids et le surpoids chez les patients traités par chimiothérapie anticancéreuse.
La chimiothérapie anticancéreuse
Les médicaments utilisés dans le traitement de cancer ont une action sur la physiologie de l’organisme. Ils provoquent des réactions chimiques dans l’organisme qui entraînent des modifications biologiques. Ces modifications provoquent des modifications de la physiologie. En particulier, ils induisent des modifications de la composition corporelle.
L’effet de la chimiothérapie anticancéreuse sur la composition corporelle peut se traduire par une augmentation de l’obésité, ou de la masse grasse et par une diminution de la masse musculaire.
Dans les essais randomisés contrôlés, on a observé que le pourcentage de patients obèses était augmenté chez les patients traités par chimiothérapie anticancéreuse. La chimiothérapie anticancéreuse augmente aussi le risque de diabète de type 2 et de surpoids, surtout chez les patients obèses.
La prise de poids chez les patients traités par chimiothérapie anticancéreuse
L’augmentation de l’obésité et du surpoids est observée dès les premiers mois de chimiothérapie anticancéreuse. La prise de poids est d’autant plus importante que le traitement est prolongé.
Il est donc souhaitable que la prise de poids soit surveillée et prise en charge. Pour les patients atteints de lymphome non hodgkinien à cellules T, les patients sont souvent pris en charge par la nutritionniste de l’hôpital ou du centre de soins.
Le traitement de la prise de poids
Il est essentiel de surveiller la prise de poids. Il est donc important d’instaurer une démarche de surveillance du poids chez les patients traités par chimiothérapie anticancéreuse. Des échecs du traitement sont souvent associés à une prise de poids. Il faut donc surveiller la prise de poids chez ces patients afin de prévenir les échecs.
Les échecs de traitement sont associés à une prise de poids. Il est important d’instaurer une démarche de surveillance du poids chez ces patients. Le surpoids est une des conséquences les plus fréquentes de la chimiothérapie. Il est donc essentiel de surveiller le poids et les apports nutritionnels chez ces patients. La prise de poids est un facteur favorisant les échecs du traitement. Une perte de poids peut être envisagée. Il faut éviter le surpoids chez ces patients.
Traitement de soutien pour la prise de poids
Il est important de surveiller la prise de poids chez les patients atteints de lymphome non hodgkinien à cellules T pour prévenir les échecs. En effet, la prise de poids est un des facteurs favorisant les échecs de traitement.
Il est donc important d’instaurer une démarche de surveillance du poids chez les patients atteints de lymphome non hodgkinien à cellules T. La prise de poids est donc à surveiller afin de prévenir les échecs de traitement.
Il est nécessaire de surveiller la prise de poids chez les patients atteints de lymphome non hodgkinien. Les échecs de traitement sont souvent associés à une prise de poids. Il faut donc surveiller la prise de poids chez ces patients pour prévenir les échecs.
Quels traitements de l’obésité chez le patient atteint de lymphome non hodgkinien à cellules T ?
Des études ont montré que les thérapies agissant sur la lipoprotéine lipase (LPL) étaient efficaces dans le traitement de l’obésité chez les patients atteints de lymphome non hodgkinien à cellules T.
Dans une étude randomisée, le traitement de 12 semaines de LPL avec 10 mg de ciclosporine par jour et une association de deux antibiotiques associés à la LPL a été efficace sur le poids des patients atteints de lymphome non hodgkinien à cellules T.
Ces résultats ont été confirmés dans une étude plus vaste en double aveugle, randomisée, contrôlée par placebo. L’ajout d’un antibiotique associé à la LPL et d’un antipsychotique associé à la LPL a entraîné une perte de poids significative chez 14,6% des patients traités par LPL.
Quel est l’effet de la LPL ?
La LPL augmente le métabolisme du glucose. Cette augmentation du métabolisme du glucose est associée à une diminution du nombre de cellules B actives. Ce phénomène est considéré comme un effet métabolique indirect de la LPL. Il est donc possible que cette augmentation du nombre de cellules B actives diminue la réponse du corps aux chimiothérapies. En effet, le nombre de cellules B actives est un facteur important dans la réponse à la chimiothérapie. La diminution du nombre de cellules B actives entraîne une diminution de la réponse du corps aux chimiothérapies et une augmentation de la toxicité des chimiothérapies et de l’exposition des cellules normales à la chimiothérapie.
Les résultats de la présente étude sont contradictoires : les patients traités par LPL ont perdu moins de poids que ceux traités par ciclosporine seul.
Quels sont les effets secondaires de la LPL ?
En cas d’association de LPL et de ciclosporine, certains effets secondaires ont été observés chez les patients traités par LPL. Les effets secondaires les plus courants sont des diarrhées, des vomissements et des douleurs abdominales.
Quelle est la tolérance de la LPL ?
Cette association est bien tolérée.
Quelle est la durée du traitement ?
La perte de poids a donc été plus lente chez les patients traités par LPL. Par conséquent, une durée plus longue du traitement par LPL peut être nécessaire.
Quel est le traitement de la prise de poids chez le patient atteint de lymphome non hodgkinien à cellules T ?
L’efficacité de la prise de poids est controversée chez les patients atteints de lymphome non hodgkinien à cellules T.
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